samedi, décembre 09, 2006
Jeudi soir : concert de Vincent Delerm à la Cigale
Ce concert était un imprévu, j'ai même failli l'oublier mais c'eût été vraiment dommage !
C'est mon amie Hélène qui cherchait de la compagnie pour aller voir Vincent Delerm. Elle a su qu'il y avait ce concert comme ça, en passant devant la salle. Sylvain n'était pas vraiment partant mais j'ai fini par le convaincre.
On avait rendez-vous à 19h au métro Pigalle, le concert commençant à 20h. On avait innocemment pensé qu'avec une heure d'avance, on serait dans les premiers. Que nenni ! C'était sans compter sur les Parisiens, une espèce vraiment à part. La queue était déjà bien longue mais nous avons quand même réussi à trouver des places avec une bonne vue sur la scène (en effet, à la Cigale, on loue des places assises non numérotées et certains sont restés debouts - par choix ?).
En première partie, il y avait Polar (oui, comme la bière si consommée au Vénézuela), un Suisse qui chante des textes de Miossec. Les thèmes abordés n'étaient pas franchement gais mais il chantait bien, avait une jolie voix et j'ai bien apprécié sa dernière chanson : le brasier ("Et je brûle, et je brûle, et je brûle d'amour pour toi...").
Ensuite, on a eu droit a un faux documentaire sur Vincent Delerm en vacances dans le sud, genre en tout petit short avec une raquette de ping-pong à la main. Très marrant, surtout qu'il en a profité pour commencer discrètement sa première chanson. C'était bien plus vivant et chaleureux que je ne le pensais, il nous a fait participer, s'est servi de vidéos pour illustrer ses propos, nous a fait des fausses blagues bien drôles et a chanté des morceaux que je ne connaissais pas. J'ai bien aimé les duos surprise aussi, un avec Valérie Lemercier sur "J'ai attrapé un coup de soleil" de Cocciante et un avec Alain Chamfort sur "L'autre dans le miroir" (véritable titre de la chanson ?).
La touche de fin m'a épatée : il a fini déguisé en Mexicain avec ses musiciens, je ne pensais pas que c'était possible, Vincent Delerm avec un poncho, une petite guitarre et de fausses moustaches !
Bref, un premier concert parisien très réussi. Merci encore à Hélène pour cette soirée qui change.
C'est mon amie Hélène qui cherchait de la compagnie pour aller voir Vincent Delerm. Elle a su qu'il y avait ce concert comme ça, en passant devant la salle. Sylvain n'était pas vraiment partant mais j'ai fini par le convaincre.
On avait rendez-vous à 19h au métro Pigalle, le concert commençant à 20h. On avait innocemment pensé qu'avec une heure d'avance, on serait dans les premiers. Que nenni ! C'était sans compter sur les Parisiens, une espèce vraiment à part. La queue était déjà bien longue mais nous avons quand même réussi à trouver des places avec une bonne vue sur la scène (en effet, à la Cigale, on loue des places assises non numérotées et certains sont restés debouts - par choix ?).
En première partie, il y avait Polar (oui, comme la bière si consommée au Vénézuela), un Suisse qui chante des textes de Miossec. Les thèmes abordés n'étaient pas franchement gais mais il chantait bien, avait une jolie voix et j'ai bien apprécié sa dernière chanson : le brasier ("Et je brûle, et je brûle, et je brûle d'amour pour toi...").
Ensuite, on a eu droit a un faux documentaire sur Vincent Delerm en vacances dans le sud, genre en tout petit short avec une raquette de ping-pong à la main. Très marrant, surtout qu'il en a profité pour commencer discrètement sa première chanson. C'était bien plus vivant et chaleureux que je ne le pensais, il nous a fait participer, s'est servi de vidéos pour illustrer ses propos, nous a fait des fausses blagues bien drôles et a chanté des morceaux que je ne connaissais pas. J'ai bien aimé les duos surprise aussi, un avec Valérie Lemercier sur "J'ai attrapé un coup de soleil" de Cocciante et un avec Alain Chamfort sur "L'autre dans le miroir" (véritable titre de la chanson ?).
La touche de fin m'a épatée : il a fini déguisé en Mexicain avec ses musiciens, je ne pensais pas que c'était possible, Vincent Delerm avec un poncho, une petite guitarre et de fausses moustaches !
Bref, un premier concert parisien très réussi. Merci encore à Hélène pour cette soirée qui change.
Comments:
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je ne parviens toujours pas à imaginer Vincent Delerm déguisé en mexicain, c'est encore inconcevable pour moi !
Nomwenn m'a appelée dégoutée pour me dire que apparemment Vincent Delerm a décidé de faire une grosse pause professionnelle de deux ans et donc que ce concert était le dernier avant sa pause. On l'a échappée belle !
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