Alice la chipie

Cf. La Redoute.

En tant qu'ex-présidente du club commerce équitable de l'ENSAI, je me devais de faire un petit paragraphe sur ce sujet qui me tient tant à coeur. Déjà, vous pouvez aller sur mon site : /* plus à jour*/ ; même s'il n'est plus à jour, vous pouvez y trouver un minimum d'informations. Il y a d'ailleurs de nombreux liens vers les sites oficiels, comme celui de Max Havelaar. Ensuite, je vous recommande vivement le site d'Alterafrica, qui vend en ligne des produits équitables. J'avoue avoir un faible pour leurs bijoux... Ils ont également des vêtements équitables, qui ne sont pas encore accessibles partout. J'en ai trouvé quelques uns à La Redoute ; la Camif s'y est mise également mais je trouve leurs modèles moins jolis. Pour ce qui est des grandes surfaces, que je cautionne moins qu'Artisans du Monde, Carrefour et Leclerc, entre autres, font des efforts pour avoir des produits équitables en rayon. C'est pratique quand on n'a pas le temps de se déplacer jusqu'à la boutique d'Artisans du Monde (mes potes et les fournisseurs du club). Les magasins bio aussi vendent désormais de l'équitable puisque certains produits ont les deux labels. Voilà, vous connaissez maintenant tous les moyens que j'ai trouvé pour consommer de l'équitable. J'espère que ça en inspirera plus d'un !

Je vais enfin pouvoir me reposer et oublier tous ces projets ensaiens (et plus particulièrement le projet stat) ; il était temps ! Au programme : Angers pour aller voir ma famille, Bourgeuil pour un séjour à la campagne puis Paris pour déranger Sylvain dans son quotidien. Tout ça en une semaine, tout va bien. En plus, Christine, la femme de mon père, vient de retrouver "La force de l'âge", de Simone de Beauvoir, ce qui risque d'occuper mes prochains après-midi... A Paris, j'espère voir Gaëlle-Anne et retourner au magasin Gap des Champs-Elysées. Tout un programme en somme.
Par contre, je risque d'être moins assidue sur ce blog puisque j'ai certes pris mon ordi mais que j'ai oublié le câble donc il risque de me laisser tomber rapidement.
Je vais essayer de ne pas trop penser aux projets pour mieux en profiter. Je sais bien que c'est bientôt la fin de l'ENSAI pour moi et que je ne devrai pas râler autant mais ça soulage, je vous assure !
En résumé : bonnes vacances à tous !

...après mes six années en Guadeloupe.
C'est mon Papa qui me les avait achetées, il avait peur que j'ai froid à mes petits pieds une fois arrivée en Métropôle. Des Docs en plus, trop cool ! Comme vous pouvez le voir sur la photo, elles sont un peu défoncées maintenant ; en même temps, elles ont cinq ans, ce qui correspond à un âge très avancé pour des chaussures, mine de rien. Elles m'ont beaucoup servies en prépa, j'ai remplacé les semelles un grand nombre de fois et je les mets toujours quand je ressors mon pantalon marron. Mais il va bientôt falloir que je les abandonne parce qu'elles me font mal aux pieds... Je serai alors obligée d'acheter une autre paire pour les remplacer, quel triste monde ! (des Camper, des Camper, des Camper !!!)
Oubli de la semaine : l'adresse du site (au top) où j'ai acheté mes Pataugas de la mort. Allez voir sur www.la-botte.com, où il y a à peu près des millions de marques trop bien.

Libellés : chaussures

Soirée à thème à l'ENSAI hier soir : "Le blond n'est pas seulement une couleur, c'est aussi un concept !". Ceux qui venaient "déguisés" avaient donc droit à un ticket boisson. Je n'ai pas osé mais j'avoue que j'aurai eu du mal à assumer ! Par contre, ceux qui avaient joué le jeu s'en sont pas mal sorti. Spéciale dédicace à Marine et Agnès, habillées comme des poufs (c'était fait exprès, cela va sans dire !). Laurianne, elle, a voulu faire sa maline et s'est teinte en brune pour l'occasion. Pffff...

Le club conférences de l'ENSAI, dont je fais partie, a proposé aujourd'hui à 17h une conférence avec Amnesty International sur les violences faites aux femmes en France. Cyril Leroyer, militant d'Amnesty International à Rennes, est venu nous présenter le rapport publié le 8 février dernier et intitulé : les violences faites aux femmes, une affaire d'état. Les chiffres sont inoubliables puisque une femme sur dix en France a déjà été battue par son conjoint et il meurt tous les quatre jours une femme sous les coups de son compagnon, oui, dans notre pays démocratique, la France. Le plus inquiétant ? Parmi les femmes battues, 10% sont étudiantes et donc des filles de notre âge. Un rapport-bilan à lire et à faire passer pour ne pas oublier que des femmes meurent encore parce qu'elles sont battues, parce qu'il faut répéter que frapper une femme, c'est bel et bien interdit. Sans oublier le sort des femmes qu'on force à se prostituer, à se marier ou qu'on mutile sexuellement...
Pour passer à des choses plus agréables, nous avons fini par un petit apéro équitable acheté chez Artisans du Monde. Au menu : guaranito (un ancêtre du Coco-Cola ?), des jus, de la bière du Laos, des noix de cajou et des chips de banane (j'aime trop alors que je déteste les bananes !).
Merci à Cyril Leroyer (ça fait du bien de voir des militants qui restent optimistes), à tous ceux qui se sont déplacés jusqu'à la salle 13, au BDE pour le financement de l'apéro, à Julie et Delphine pour l'ouverture de la k'fet et à la repro.
Cela faisait longtemps que je voulais organiser un truc à l'ENSAI sur le thème de la femme mais je ne voyais pas qui inviter et je n'arrivais pas à "préciser ma pensée" (hein, monsieur Whybrew ?) et quand j'ai vu le rapport d'Amnesty en février, j'ai eu l'illumination ! En plus, ils avaient une antenne à Rennes, c'était parfait. Certes, j'ai mis du temps à les joindre mais tout est bien qui finit bien, c'est l'essentiel. Même s'il n'y avait pas foule, je suis contente que cette conférence ait eu lieu. Voilà, c'est dit.

J'ai acheté des piles ce week-end (information pertinente) donc c'est reparti pour les photos. Oh yeah ! (spécial dédicace pour Ju) Voici les chaussures que j'ai portées aujourd'hui et qui ont également une histoire. En fait, je ne les aime pas trop, elles ne sont que le substitut d'une paire que j'ai aimé avec passion : mes doc martens noires, le modèle bizarre à bout très rond. Ah, je les ai beaucoup portées ces chaussures, elles ont connu la prépa et l'ENSAI, la folie humide du parc Astérix (je pense que ce fut le début de la fin pour elles) et maintes séances de shopping. D'alleurs, c'est pendant un shopping de soldes de janvier à Bordeaux que j'ai constaté le décès de mes doc : il pleuvait et j'avais le pied droit mystérieusement inondé. Après maintes recherches, force était de constater qu'elles étaient trouées. Quel chagrin ! Non seulement, j'étais triste mais j'avais un nouveau problème : je n'avais plus de chaussures noires, la catastrophe. Bah oui, parce que se balader tout le temps avec des chaussures oranges ou violettes n'est pas raisonnable dans notre société contemporaine. J'ai alors acheté les buffalo ci-contre (même si je n'aime pas les autres buffalo) pour pouvoir, de temps à autre, mettre des chaussures passe-partout. Malheureusement, je n'ai pas de photo de mes vieilles doc et de leur trou à vous présenter mais sachez que je les ai rangées chez mon père, impossible de les jeter après tous les services qu'elles m'avaient rendu.
Quand trouverai-je un digne remplaçant à ce si bel amour ?
Mais non mon chéri, ne t'inquiète pas, je parle toujours de chaussures...

Libellés : chaussures

Un week-end nostalgique à Tours avec mon amoureux, il n'y a que ça de vrai.
Tours, la ville où j'ai fait mes trois années de prépa donc où j'ai beaucoup de souvenirs et de repères. A droite, mon lycée, le lycée Descartes. Au milieu, Sylvain en train de commander un méga dessert au Chéyenne, mon restaurant préféré de Tours (un Tex-Mex incomparable). A gauche, le bar des frères Berthom, le bar que je fréquentais à l'époque. Tout ça plus l'hôtel Moderne (à recommander), le dernier Spike Lee "Inside Man" (pas mal du tout), le jardin du Musée des Beaux-Arts, les bords de Loire et la magie du Sudoku. Ah oui, merci France 3 aussi pour le téléfilm sur Simone de Beauvoir avec Lorant Deutsch en Jean-Paul Sartre quand même.

Grrrrrr ! A bas le projet stat sur les coûts de production d'une exploitation agricole ! Toutes ces vaches qui font du lait, mine de rien, ça coûte des sous mais quand il s'agit d'étudier la variabilité de ces coûts, ce n'est pas si simple.
Comment ça, je ne sais pas faire une ACP ?

Toujours pas de pile mais j'ai su m'occuper avec une conférence !
Déjà, l'historique : un beau matin de mars, je reçois une lettre de la MAIF, ce qui n'est pas habituel même si je suis devenue une de leur sociétaire (en tant que kéké de fonctionnaire). Dedans, une invitation pour une conférence sur la scolarisation des personnes handicapées. Et là, je me dis : "C'est pas possible, ils lisent dans mes pensées !". Le terme exact aurait plutôt été "lisent dans mon affectation", parce que je venais juste d'être affectée mais pas de la manière dont vous pensez. C'était la bonne nouvelle de la semaine : mon premier poste m'était attribué, au service statistique du ministère de la santé et de la solidarité ; je serai chargée d'études sur les personnes handicapées ou en difficulté, ce qui fait mon bonheur. Ni une, ni deux,je décide d'aller à la conférence tellement elle tombe bien.
J'ai donc aménagé mon emploi du temps et me suis dirigée vers l'Ecole nationale de la Santé Publique vers 18h30. J'ai appris les modalités de la nouvelle loi, les différentes institutions qui s'occupent de l'intégration des personnes présentant un handicap et le vocabulaire qui s'en suit. Ce fut instructif mais je me suis dit que je n'allais pas chômer l'année prochaine.
Conclusion de la journée : le handicap, c'est comme la cause des femmes, on n'en parle pas assez alors rien ne se passe... (moi-même)

Moi, je voulais simplement vous montrer les chaussures que j'avais mises aujourd'hui pour continuer ma saga mais mon appareil photo numérique n'est pas d'accord. Il paraît que je dois changer ses piles, que sinon il fait la grève des photos. Je le trouve bien exigeant pour son âge (10 jours ! ) et un peu trop gourmand en piles. On ne peut plus compter sur personne...

Alors voilà, comme je suis une fan de chaussures, j'ai décidé d'être honnête avec moi-même et de les compter. Hum ! Il y en a beaucoup... La désintoxication passant par la reconnaissance de ses actes, je vais donc vous exposer au fur et à mesure toutes et vraiment toutes mes paires de chaussures, ou tout du moins celles que je porte. (Celles gardées en souvenir, ça compte pas voyons !!!)
Pour commencer, ma préférée du moment : mes Pataugas quadricolores. Elles sont violettes, orange (une de mes couleurs du moment, j'avoue), mauves (qu'on ne voit pas sur la photo) et vertes. Quand je les ai achetées (ça, ça veut malheureusement dire qu'il y a eu du changement depuis), je n'avais jamais mis autant d'argent dans une paire de chaussures. Mais bon, quand on aime, on ne compte pas ! A tel point que je me suis battue pour les avoir : il n'y avait plus ma taille (un si joli 36) dans tout Rennes ; du coup, j'ai dû me lancer dans les achats en ligne et attendre la livraison pour enfin pouvoir les mettre pour de vrai. Je les ai même ouvertes dans la voiture de Gaëlle-Anne (toujours la même) pour ne plus attendre !
Quelle épopée de chaussures !!!!
Mais la question existencielle reste : est-ce que je pourrais les mettre à mon travail l'année prochaine ? euh pardon : dans quatre mois ? (déjà...)
[J'ai un peu honte parce que tout ce paragraphe ne parle que de chaussures ; c'est un peu frivol tout de même...]

Libellés : chaussures

Photo prise par Gaëlle-Anne à la pendaison de crémaillère d'Aude et Romain, samedi dernier.

Mes nouveaux cheveux depuis samedi après-midi. Alors je réponds tout de suite à toutes vos questions : oui, ça tire ; oui, ça a mis longtemps (4h30 en tout) ; oui, les shampoings, c'est bizarre mais je compte tout de même en faire !!! ; ça m'a coûté moins de 80€ (je ne me souviens plus de la somme exacte...) mais je crois que ça en vaut la peine !

Voilà, ça c'est moi pour ceux qui auraient déjà oublié. Ilparaît que c'est la tête que je fais quand on me raconte de la merde, hien Gaëlle-Anne ? C'est aussi valable pour toi, mon geek !

Hello, les amis !
Bienvenue sur mon blog ! Promis, je vais essayer de le fournir régulièrement... Sachez que tout ceci est de la faute de Juliette et de son blog. Je décline donc toute responsabilité sur les messages ici présents. En plus, maintenant que j'ai l'appareil photo numérique, on va pouvoir s'amuser en couleurs ! Tous les commentaires sont les bienvenus, bien entendu. (Jolie rime !) Sur ce, à plus,
Alice.